Nous voici au bout de la Nouvelle Zelande, l'extreme nord. Apres 30 km de gravel road (route de graviers) nous arrivons au camping de Cape Reinga.Celui-ci a deux defauts majeurs: il est blinde de monde et infeste de moustiques. Mais le mythique phare et la frontiere entre les mers (pacifique et mer de Tasman) vaut vraiment le detour. une journee inoubliable.
La tente de vore serviteur, seule au milieu du camping au petit matin
La crique de Cape Reinga, cote pacifique
La meme crique vue des hauteurs
La pointe Nord de la Nouvelle Zelande face a l'infini oceanique
Le phare, qui veille sur la zone depuis la pointe
Ici, on indique la distance qui nous separe des principaes villes du monde. Le panneau indiquant Paris a disparu sans que l'on sache si c'est a cause du vent ou de la victoire francaise en contre les All Blacks
Votre serviteur contemplant cette merveille. Explication de l'image:
A gauche, la mer de Tasman, ses vagues et sa couleur turquoise
A droite, le Pacifique, ses vagues et sa couleur bleue intense
La ligne au bout de la pointe qui part vers la gauche est la rencontre des vagues de la mer et de l'ocean.
Et oui, elle n'ont pas la meme direction et indiquent donc precisement la frontiere entre les deux. Cette vue m'a tant plue que les copains ont du s'y prendre en plusieurs fois pour me faire revenir. c'est incontetablement le temps fort de mes vacances.
Sur le retour, nous nous sommes arretes dans les dunes pour y essayer les fameuses luges des sables. seulement une demi-heure nous separe de Cape Reinga et pourtant le paysage y est totalement different:
Ici, on passe de la verdure au desert en quelques pas
Non, nous ne sommes pas au Maroc mais bien au pays des kiwis
Vincent s'elance
Nico en mode potographe touareg
et toujours des payages somptueux
Je pense que cet article reflete tres bien la diversite des paysages en Nouvelle Zelande: de l'ocean et de ses cotes tres decoupees il ne faut qu'un pas pour arriver en plein desert. et sur la route, la foret dense (bush pour ceux qui n'ont pas suivi).